souffler sur les jours, comme on ouvre les yeux sur l'heure et sur tous ceux qui parlent sans amour
Marcher vers le jour comme on quitte au matin l'heure belle et l'heure des siens qui rêvent de toujours
S'en aller enfin pour aimer en plein jour les arbres morts et leurs images qui passent devant vous... devant vous...
Partir un matin, passer la porte close qui marque le chemin entre nous et les autres.
Chercher les images que personnes ne voit. Les garder pour son age, les perdre à chaque fois
S'en aller enfin pour aimer en plein jour les arbres morts et leurs images qui passent devant vous... devant vous...
Les yeux ouverts, les yeux devant, chercher l'hiver, chercher le temps trouver l'amer... trouver des mots surgis d'enfances, d'enfants de vous.
Ces mots quipleuvent sur vous étangs. J'ai mal aux mots qui pensent même. J'écris peut être a même de marcher comme on ouvre les yeux sur l'heure et sur tout ceux qui parlent sans amour.
Marcher vers le jour comme on quitte au matin l'heure belle et l'heure des siens qui rêvent de toujours.
Revenir enfin pour donner en plein jour les gestes verts et leurs mirages qui restent devant vous... devant vous...
J'ai vu à travers ses yeux,
Tant de si belles choses,
Tant d'indescriptibles sensations,
Je ne sais pas exactement ce que j'y cherchais,
Mais j'y ai trouvé le plus beau de ce qu'il était...
Assis sans une parole, le regard dans le vide
Dans la main un lecteur et sur les oreilles ses écouteurs
Sur votre visage cet air si triste
Mais que se passe-t-il dans votre tête?
Moi,
moi je me demande,
moi je m'interesse
moi je suis là....
Je semble pourtant si transparente,
Tant de fois j'ai essayé de vous approché,
Tant de fois j'ai essayé de comprendre
Tant de fois je me suis montrée telle que je suis
Mais chaque fois que je vous regarde, votre tête se tourne et ailleurs vous regardez, toujous dans ce même vide
Ce vide qui doit avoir une signification
Que je ne comprendrai jamais
Vous,
Vous vous exister,
Vous tristes que vous êtes,
Vous vous êtes là...
L'amour sera toujours cette partie de vous qu'il reste à faire...
°OoO Lors de tes derniers instants de vie, lorsque tu verras ta vie défilé tel un film, tu remarqueras que si tu avais eu des amis, jamais cette lame n'aurait atteint ton poignet...OoO°
Elle me suit,
Partout où je vais elle s'y trouve,
Où que j'aille je la vois
Je la regarde, elle me suit.
Elle me suit,
Toujours elle me regarde avec ses beaux yeux
Parfois je la vois triste
Mais elle rit bien souvent
Je la regarde, elle me suis
Qui est-elle?
Que veut-elle?
D'où vient ce sentiment étrange
Que jamais je n'avais ressenti auparavant?
Elle me suis,
Mais à force d'en être si pesuadé,
Je me regarde et je remarque
Que c'est moi qui la suis....
J'ai pas grand chose à dire, j'ai simplement essayé de me mettre à la place de qqn...
ok, j'commence un peu fort avec MUSE, mais essayez de comprendre!!!!lol cette chanson en dit peut être beaucoup sur moi...Tout dépend comment on la comprend...
"Hands are red with your blame
Megaphone screaming my name
Whimpers someone I should've loved
Souls weeping above
I've seen what you're doing to me
Destroying puppet strings
To our souls
Micro waves me insane
A Blaine cuts in your brain
Sounds like forks on a plate
Blackboard scratched with hate"
"Les mains sont rouges de ta faute
Un mégaphone criant mon nom
Des plaintes de quelqu'un que j'aurais dû aimer
Des âmes pleurant par-dessus
J'ai vu
Ce que tu es en train de me faire
Détruire les ficelles de marionnettes
De nos âmes
Les micro-ondes me rendent fou
Une lame incise ton cerveau
Avec des sons comme une fourchette sur une assiette
Un tableau noir griffé avec haine"