souffler sur les jours, comme on ouvre les yeux sur l'heure et sur tous ceux qui parlent sans amour
Marcher vers le jour comme on quitte au matin l'heure belle et l'heure des siens qui rêvent de toujours
S'en aller enfin pour aimer en plein jour les arbres morts et leurs images qui passent devant vous... devant vous...
Partir un matin, passer la porte close qui marque le chemin entre nous et les autres.
Chercher les images que personnes ne voit. Les garder pour son age, les perdre à chaque fois
S'en aller enfin pour aimer en plein jour les arbres morts et leurs images qui passent devant vous... devant vous...
Les yeux ouverts, les yeux devant, chercher l'hiver, chercher le temps trouver l'amer... trouver des mots surgis d'enfances, d'enfants de vous.
Ces mots quipleuvent sur vous étangs. J'ai mal aux mots qui pensent même. J'écris peut être a même de marcher comme on ouvre les yeux sur l'heure et sur tout ceux qui parlent sans amour.
Marcher vers le jour comme on quitte au matin l'heure belle et l'heure des siens qui rêvent de toujours.
Revenir enfin pour donner en plein jour les gestes verts et leurs mirages qui restent devant vous... devant vous...
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